Entre transparence et opacité
Elle observe l’encre qui se promène et se dilue sur le papier.
Elle s’y laisse couler, se fait plaisir, peint et trace les motifs, déchire et coupe dans la matière sensible. Cède à la nécessité de défaire ce qui est, pour refaire ce qui devrait, donnant place à des rencontres jubilatoires et chaotiques.
Elle organise dans des collages hybrides des paysages funambulesques où de petits êtres ont envie de se balancer.
Ellen Rouppe (1 mai 2006 – extrait)